lundi, mai 15, 2006

Harmonie conjugale

Un jour j’ai rencontré un gentil monsieur… et nous sommes tombés amoureux.
Nous devions nous marier alors j’ai cessé de manger mon plat préféré… les fèves au lard. Quelques mois plus tard, le jour de mon anniversaire, je suis tombée en panne au retour à la maison. J’ai donc appelé mon mari pour le prévenir que je serais en retard car il me fallait marcher jusqu’à la maison.

En marchant, je passe devant un petit resto d’où émane une odeur de fèves au lard à laquelle je ne peux résister. Vu les km qu’il me reste à marcher, je me dis que les “effets” seraient sûrement passés avant d’arriver à la maison. Alors je m’arrête et sans m’en apercevoir, j’avais mangé trois grandes portions de fèves au lard.
À mon arrivée, je fus surprise de voir mon mari déjà rendu, tout excité de me voir et qui s’exclame: “Chérie, j’ai une surprise pour le souper ce soir”.
Alors il met un foulard sur mes yeux et me fait asseoir à la table.
En m’asseyant, le téléphone sonne juste comme il allait me retirer le foulard. Il me fait promettre de ne pas y toucher avant qu’il ne revienne et va répondre.
Les fèves que j’avais avalées me faisaient toujours effet (du tonnerre) et la pression devient intenable; alors mon mari n’étant pas dans la pièce, j’en profitai. Je bougeai mon poids sur une jambe et en échappai un. Non seulement il était bruyant, mais l’odeur était comme celle d’un camion de rebuts passant sur une mouffette ! Je pris ma serviette de table pour faire circuler l’air autour de moi vigoureusement. Balançant mon poids sur l’autre jambe, j’en évacuai trois de plus. L’odeur était pire que le chou cuit.

Attentive à la conversation de mon mari dans l’autre pièce, je continuai ainsi durant quelques minutes. Le plaisir était indescriptible.
Alors que les salutations au téléphone signalaient la fin de ma liberté, de nouveau j’aérai autour de moi avec ma serviette, la replaçait sur mes genoux et me croisai les mains, soulagée et fière de moi. Mon visage reflétait l’innocence au retour de mon mari qui s’excusait d’avoir été aussi long. Il me demanda si j’avais triché et regardé; je l’assurai que non.
C’est alors qu’il retira le foulard et que douze invités assis autour de la table crièrent en choeur: ” Bon Anniversaire ! ” Je me suis évanouie ……

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C’est l’histoire d’un homme très en amour avec sa femme qui, par contre, s’ennuyait vraiment du petit bar du coin et des fêtes avec ses copains.

Il dit alors à sa femme:
- Ma chérie, je reviens presque tout de suite…

- Où vas-tu mon petit lapin?

- Je m’en vais au bar, ma biche, je vais boire une bière.

- Tu veux une bière, mon amour?

Elle ouvre la porte du réfrigérateur et lui montre les bouteilles de bière qui s’y trouvent. Il y avait plus de 25 marques venant d’une bonne douzaine de pays différents.

- Oui, mon sucre d’orge, mais au bar… tu sais… les verres gelés…

- Tu veux un verre gelé, mon petit pitou?

Elle ouvre le congélateur et en sort un. L’homme, plus pâle…
- C’est bien ma tendre chérie d’amour, mais au bar, ils ont des petites choses délicieuses à grignoter… Je vais revenir, ça ne sera pas long, je te le promets, ok?

- Veux-tu des choses petits choses à grignoter, ma petite face de minet ? Elle ouvre la porte de la cuisinière et en retire des ailes de poulet, des nachos et un pot de langues de porc.

Mais, chérie… tu sais… au bar… les jurons et les autres gros mots…

Tu veux des gros mots, mon petit chou à la crème?

- LÀ, TU VAS BOIRE TA CRISSE DE BIÈRE, DANS TON OSTIE D’VERRE CONGELÉ, PIS TU VAS MANGER TES TABARNAK DE P’TITES BOUCHÉES, PIS TU VAS FAIRE ÇA DRETTE ICITTTE !!! PARCE QUE TU T’EN VAS NULLE PART, C’EST-TI ASSEZ CLAIR MAUDIT TROU DE CUL!


(merci au barchezmo)

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